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  • qui est rachi ?
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  • qui est ibn ezra ?
  • qui est le Targum Onkelos ?
  • qui est Targum Yonatan ben Uzziel ?
  • qui est le meiri ?
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  • qui est rachi ?
    Rabbi Shlomo ben Itzhak HaTzarfati dit Rachi « Rabbi Salomon fils d’Isaac le Français », Rabbi Shlomo Itzhaki « Rabbi Salomon Isaacide »),
    également connu sous le nom de Salomon de Troyes est un rabbin, exégète, légiste, décisionnaire, poète et vigneron champenois du XIe siècle (Troyes, c. 1040 - 13 juillet 1105).
    Principalement connu de nos jours pour son commentaire sur la quasi-totalité de la Bible hébraïque et du Talmud de Babylone, il est l’une des principales autorités rabbiniques du Moyen Âge et l’une des autorités les plus influentes du judaïsme.

    Il est aussi l’un des rares savants juifs à avoir influencé le monde chrétien, son exégèse biblique ayant influencé, par le truchement de Nicolas de Lyre, la traduction de la Bible par Martin Luther.


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    qui est le yalkout chimoni ?
    yalokout
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    qui est ibn ezra ?
    Le Rav Abraham ben Meir ibn Ezra (hébreu אברהם אבן עזרא, arabe Abu Isḥaḳ Ibrahim ibn al-Majid ibn Ezra) est un rabbin andalou du XIIe siècle (Tudèle, circa 1092 - Calahorra, circa 1167). Grammairien, traducteur, poète, exégète, philosophe, mathématicien et astronome, il est considéré comme l’une des plus éminentes autorités rabbiniques médiévales.


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    qui est le Targum Onkelos ?
    Le nom "Onkelos" était attaché à ce travail au début de l'époque médiévale, en raison d'une identification erronée avec une traduction par "Onkelos le prosélyte» qui est mentionné dans le Talmud. Il est clair que la référence talmudique est vraiment à la traduction grecque de la Torah par Aquila, dont certaines parties sont citées dans le Talmud palestinien et dans les sources chrétiennes. La traduction araméenne actuelle n'a pas d'auteur connu, et était évidemment la version standard qui était en usage dans les synagogues de Babylone à l'époque talmudique. Plusieurs citations du Targum dans le Talmud babylonien d'accord avec notre "Targoum Onkelos", la plupart d'entre eux sont amenés dans le nom du troisième siècle, Babylone Rav Joseph érudit, indiquant peut-être qu'il a pris une part active dans sa compilation.
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    qui est Targum Yonatan ben Uzziel ?

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    qui est le meiri ?
    Menahem Hameïri Mena'hem ben Shlomo Hame'iri ; provençal/shuadit : Don Vidal Solomon de Perpignan) est un rabbin catalan des XIIIe et XIVe siècles (1249 - c. 1310), considéré comme l'un des commentateurs les plus brillants du Moyen Âge. Sommaire [masquer] 1 Éléments biographiques 2 Œuvre 2.1 Beit HaBehira 2.2 Autres 3 Notes et références 4 Source Éléments biographiques[modifier] Menahem Hameïri étudie à Narbonne, auprès de Reuben ben Hayyim. Il se montre très influencé par les travaux de Moïse Maïmonide et, lorsqu'Abba Mari de Lunel veut faire interdire l'étude de la philosophie et des sciences, il se range aux côtés des maïmonidéens bien qu'il réprouve l'usage débridé de l'allégorie dans l'exégèse biblique1. Le Meïri défend donc emphatiquement la science, bien qu'il interdise de s'y atteler avant d'avoir suffisamment étudié le Talmud. Œuvre[modifier] Menahem HaMeïri est l'auteur de nombreux travaux, la plupart conservés. Ils sont clairs et concis et portent la marque d'un esprit logique, rationnel et scientifique. Le Meïri conteste ainsi l'existence des démons, l'efficacité des amulettes contre le mauvais sort, le déterminisme de l'astrologie et de nombreuses superstitions parce qu'elles infirment la notion de libre-arbitre1. Par ailleurs, il est souvent cité pour son ouverture d'esprit vis-à-vis des Gentils en dépit du climat de persécutions anti-juives, affirmant que les nombreuses références aux apostats et aux non-Juifs du Talmud font référence aux seuls païens idolâtres2,3. Beit HaBehira[modifier] Le grand-œuvre du Meïri est son commentaire du Talmud, intitulé Beit HaBehira (« Maison de l'élection »). Il couvre trois ordres (Moëd, Nashim et Nezikin) ainsi que quelques traités. Le Meïri écrit dans un hébreu néo-mishnaïque, syntaxiquement proche de l'hébreu moderne. À la différence des commentaires traditionnels, le Beit HaBehira n'adhère pas au texte du Talmud. Il se présente, comme le Talmud lui-même, par une exposition de la Michna suivie des discussions. Dans ces discussions, il évite délibérément l'aspect dialectique et présente les conclusions et décisions des autorités des générations précédentes (citées par des titres et des surnoms plutôt que nommément), tant ashkénazes que séfarades. De plus, il fournit au lecteur les informations utiles à la bonne intelligence du texte4. Il se distingue encore des commentaires classiques en ce qu'il n'hésite pas à faire appel au Talmud de Jérusalem pour éclairer sur le sens du Talmud de Babylone. Il semble d'ailleurs avoir eu sous les yeux de nombreux passages du Talmud de Jérusalem disparus depuis. Pour toutes ces raisons, le Beit HaBehira, qui pourrait presque se lire indépendamment du Talmud, est peu cité par les autorités ultérieures et n'a été réimprimé que récemment. Il semble en particulier n'avoir joué aucun rôle dans le processus de décision de la Loi juive, car il suit le modèle et le concept maïmonidiens de synthèse et d'univocité alors que le paysage intellectuel est, au moment de sa rédaction et jusqu'à l'époque moderne, dominé par les discussions dialectiques des Tossafistes. En revanche, il est fortement apprécié à l'heure actuelle, où l'usage s'est répandu d'utiliser des sources secondaires4. Autres[modifier] Menahem Hameïri a également produit : un traité sur la pénitence intitulé Hibbour HaTeshouva ou Meshivat Nefesh, conservé en manuscrit (MS. de Rossi, No. 1313) ; Kiryat Sefer, un ouvrage massorétique sur la méthode d'écrire des rouleaux de Torah en deux volumes (Smyrne, 1863-81) un commentaire sur la Bible, dont seuls ceux sur les Proverbes (Leiria, 1492) et les Psaumes (Neubauer, Cat. Bodl. p. 69) ont été conservés. Hayim Joseph David Azoulay mentionne encore Bet Yad, sur l'ablution des mains avant les repas et le matin, et Ohel Moëd qui n'existent plus. Dans son commentaire au traité Sanhédrin, le Meïri cite un autre de ses travaux disparus, intitulé Ktav Dat qui, au vu du titre, semble avoir été un « catéchisme ».
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    qui est le malbim ?
    Meïr Leibush ben Jehiel Michel Weiser (Volochysk, Volhynie 7 mars 1809-Kiev, 18 septembre 1879), connu par son acronyme Malbim (hébreu : ????"?), est un rabbin russe, et commentateur de la Torah. Le nom "Malbim" dérive des initiales de son nom. Sommaire [masquer] 1 Éléments biographiques 1.1 De Volhynie à Varsovie (1809-1838) 1.2 Wreschen et Kempen (1838-1859) 1.3 Grand Rabbin de Bucarest (1859) 1.3.1 Prière pour le Roi (1862) 1.4 Les dernières années du Malbim 1.5 Le nom du Malbim est suggéré pour le Grand Rabbinat de New York (1879) 2 L'approche du Malbim 3 Points de vue du Malbim 4 œuvres 5 Pensées 6 Bibliographie 7 Liens externes 8 Références et Notes Éléments biographiques[modifier] De Volhynie à Varsovie (1809-1838)[modifier] Le Malbim est né à Volochysk, en Volhynie, à l'époque en Russie, aujourd'hui en Ukraine, le 7 mars 1809. Il reçoit sa premiere éducation en Hébreu et en Talmud de son père. Devenu orphelin très jeune (il a six ans)1, il est pris en charge par le second mari de sa mère, le rabbin Leib de Volochysk. Il va étudier à Varsovie, Pologne à l'âge de 13 ans. Il y gagne la réputation de "génie (Iluy) de Volhynie". Wreschen et Kempen (1838-1859)[modifier] A l'âge de 29 ans, en 1838, il devient le rabbin de Wreschen (Kreis Wreschen (polonais : Powiat wrzesi?ski) , en Prusse, dans la province de Posen, aujourd'hui dans l'est de la Pologne. Il y reste jusqu'en 1845. Il devient ensuite le rabbin de Kempen, une ville de Rhénanie-du-Nord-Westphalie, en Allemagne jusqu'en 1859. Il y gagne, comme orateur, la réputation de Maggid de Kempen. Grand Rabbin de Bucarest (1859)[modifier] En 1859, le Malbim devient le Grand Rabbin de Bucarest, en Roumanie. Le Malbim qui défend le judaisme orthodoxe mene une lutte pour preserver l'adhérence à la Halakha et aux traditions. Il s'oppose à la construction de la grande synagogue Chorale de Bucarest2,3, avec choeur et orgue. Cette synagogue devient en 1864, la principale synagogue néo-orthodoxe de Roumanie. Prière pour le Roi (1862)[modifier] Le Malbim compose une Ode au Prince Alexandre Jean Cuza qui unifie les principautés de Moldavie et de Valachie, en 1862, pour former les Principautés unies de Roumanie. Il compose cette Ode pour la fête nationale de Roumanie du 24 janvier 1862. Elle est lue publiquement par le Malbim et et la Communauté. Le texte de l'Ode se lit ainsi: "Une Prière pour la Vie de notre monarque Le Roi et en faveur du Bien-Être de son État Au jour où notre roi Alexandre Jean Cuza vint dans notre ville Mettons nos mots devant Toi, O Seigneur Ouvre les portes des Cieux, et Fait briller Ta Lumière Donne lui longue Vie Et avec lui vient l'état de Moldavie Notre soeur, puisses tu recevoir les bénédictions mentionnées dans la Bible Et sur les ailes des aigles et sur le puissant boeuf sauvage Tu verras l'envol de la victoire comme de brillantes étoiles Seigneur Tu as toujours accepté à Ta face de briller Pour établir fermement le trône royal pour lui qui T'a été fidèle Tu lui as proclamé: j'établirai ton trône de génération en génération Depuis le temps que Tu l'as établi dans la communauté des nations Tu l'as vu les conduire comme un berger son troupeau, pour élever un peuple démuni Pour casser leurs chaines et proclamer la liberté aux captifs Et quand la joie éclate au milieu de la musique de la harpe et de la trompette Sur chaque route et chaque montagne raide Et chaque coeur se remplit de joie et chaque bouche avec louange Moi, le fils d'Israël, mon coeur se remplit d'espoir Et mes yeux se tournent vers les cieux et mon âme demande grâce Le coeur du roi est dans tes mains et je prie Seigneur, protège, comme tu protèges ce qui T'est le plus cher Alexandre Jean Cuza, notre Seigneur le Roi Protège le, notre Seigneur, et son épouse la Reine et tous les ministres de son royaume Et établis à jamais les héritiers et leurs trônes Et puisse leur bien-être couler comme un fleuve puissant Écrase tous leurs ennemis devant eux et que leurs adversaires s'éloignent Comble le avec majesté et gloire Puisse la bonté du Seigneur se répandre sur ses villes comme l'aurore Et envelopper les plus hautes cimes du pays Et puisse ces vallees pleines de fruits résonner de musique"4. Les dernières années du Malbim[modifier] Le Malbim accepte le poste de rabbin de la communauté de Kremenchug, en Russie. En route vers cette communauté, il tombe malade à Kiev et y décède, le 18 septembre 1879, le premier jour de Roch Hachana. Il a 69 ans5. Sa tombe à Kiev n'a pas été retrouvée, d'après des recherches récentes6. Le nom du Malbim est suggéré pour le Grand Rabbinat de New York (1879)[modifier] Durant l'année 1879 où il décède, il est question de nommer un Grand Rabbin de New York. L'idée circule de choisir le Malbim pour ce poste7. L'approche du Malbim[modifier] Le rabbin conservateur anglais Louis Jacobs (1920-2006), écrit8 "Les commentaires du Malbim sur l'ensemble de la Bible sont devenus un des commentaires les plus populaires chez les juifs orthodoxes car leur but est de montrer, principalement par une recherche philologique, que les enseigements de la Torah Orale, tels que trouvés dans le Talmud, sont contenus dans la Torah Écrite, le Pentateuque." "Très peu de savants biblistes modernes sont enthousiastes de la methodologie du Malbim mais ils reconnaissent les nombreuses interprétations du sens des textes bibliques trouvés dans son commentaire." "Le Malbim était au courant des théories scientifiques et philosophiques de son temps, qui selon lui, ne sont pas en opposition avec la Bible si cette dernière est correctement comprise et interprétée." Le mouvement Massorti (conservateur) présente ainsi le Malbim: "Personnage au caractère difficile, il n'en demeure pas moins un très grand commentateur et l'incarnation d'une forte exigence pour son peuple9." Pour le rabbin Charles Touati (1986): "Il [le Malbim] fut persécuté par les Réformistes10, les Maskilim et les Hassidim...L'étude de son exégèse est tres subtile mais il reste indifférent a la nouvelle science biblique et ignorant des découvertes concernant la Bible"11. Points de vue du Malbim[modifier] L'obligation d'aimer son prochain comme soi-même s'applique, selon le Malbim, à tous les êtres humains, Juifs et non-Juifs8. La structure du Mikdash est parallèle à celle du corps humain12. œuvres[modifier] Artzoth haChayim (sur le Choulhan Aroukh, Breslau, 1837) Artzoth haShalom (sermons, Krotoschin, 1839) HaTorah vehaMitzva Mikra'ei Kodesh Mashal uMelitza
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